23 juin 2003, 0h00
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On peut appeler ça l’effet Zaragozano. Jusqu’à maintenant, les banques espagnoles de moyenne importance ont résisté à la consolidation. Les rivalités locales et des priorités parfois excentriques mises en avant par les actionnaires majoritaires, ont été les piliers de cette résistance. Mais le mois dernier, Banco Zaragozano s’est vendue à Barclays pour un montant trois fois supérieur à sa valeur comptable. Avec ce multiple qui fait venir l’eau à la bouche, d’autres banques sont en train de se de...
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