02 octobre 2003, 0h00
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Que l’OSEC soit sous pression n’est pas nouveau. Le dernier scandale rémunératoire touchant cette organisme para-étatique, subventionné à 90% par la Confédération, semble pourtant avoir eu raison des derniers verrous de protection.
Le coupé de luxe:
un problème annexe
Après avoir qualifié de «trop élevé» le salaire de 360.000 francs perçu en 2002 par Balz Hösly, actuel CEO de l’OSEC, le Conseil fédéral rassemble actuellement les faits concernant l’indemnité de départ d’un million de francs al...
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