22 avril 2004, 0h00
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C’est une carte maîtresse qu’a jouée le gouvernement allemand. Par la nomination d’Axel Weber à la présidence de la Bundesbank allemande, Gerhard Schröder, soupçonné un temps de vouloir promouvoir une personnalité politique, a habilement tiré son épingle du jeu.
Axel Weber remplacera dès lors Ernst Welteke, en fonction depuis septembre 1999 et démissionnaire depuis vendredi dernier à la suite de soupçons de «prises d’intérêts illégales».
En s’entendant pour retenir la candidature d’Axel We...
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