13 février 2001, 0h00
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Quand on annonce que les comptes AVS, pour l’an dernier, boucleront avec un bénéfice de 1 milliard au lieu du déficit de 100 millions prévu, les réactions sont assez diverses: «Décidément, ils le font exprès», dit-on, ou «mais ça change tout» ou encore «non, ça ne change rien». Il faut décidément faire le tri. Une reprise conjoncturelle fulgurante est aussi difficile à prévoir qu’une récession. On ne reproche pas à Kaspar Villiger d’avoir sous-estimé les recettes de l’Etat, mais d’avoir pris des...
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