30 mars 2004, 0h00
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La prochaine manœuvre dans la bataille pour Aventis concerne cette compagnie elle-même. Elle doit inviter formellement Novartis à participer aux discussions sur son rachat. Cela forcerait le gouvernement français à sortir de ses retranchements, alors que, pour l’instant, il soutient l’offre de Sanofi sans se montrer. Paris serait contraint de choisir entre l’usage de sa force qui révélerait alors sa nature dirigiste ou une attitude radicalement différente qui le montrerait prêt à laisser le marc...
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