18 mars 2004, 0h00
Partager
Avant même que Sanofi ne lance son OPA sur Aventis, on savait que le gouvernement français approuvait le projet. Pourquoi ce dernier ne soutiendrait-il pas la création d’un champion national valant 90 milliards d’euros? Toutefois, l’intervention de Jean-Pierre Raffarin, le Premier ministre français, a durci la rhétorique politique. Quelques jours seulement après les attentats de Madrid, il a déclaré qu’il était indispensable pour la France, encore sous le choc, de se protéger contre le bio-terro...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT