14 avril 2004, 0h00
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Qui, dans le gouvernement français, décide de la position à adopter face à l’offre inamicale de Sanofi Synthelabo sur Aventis? Avant les récentes élections, les choses étaient claires. Le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin avait exprimé son soutien à l’offre de la compagnie française sur son rival franco-allemand. Dans ses commentaires, on sentait que la création d’un champion national dans la fabrication de médicaments, avait ses faveurs. La seule question en suspens était de savoir si Raffa...
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