23 décembre 2008, 0h00
Partager
On comprend mieux pourquoi Pascal Couchepin a jugées positives les conclusions, pourtant sévères, que les ministres des Affaires étrangères des Vingt-Sept ont adoptées le 8 décembre sur les relations entre l’UE et la Suisse, lors de la visite officielle qu’il a effectuée à Bruxelles le 15 décembre. C’est que la Confédération l’a échappé belle: la première version du texte, rédigée par la présidence française de l’Union, étrillait Berne. Même si elle a été amendée, elle en dit long sur l’état d’e...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT