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Avec une touche de latinité en plus, IWC opère sa mutation dans l’enthousiasme

Georges Kern et son équipe proposent des gammes plus colorées, plus travaillées. Le CEO, qui a plus d’une idée dans sa besace, promet de jolies surprises.

10 juin 2004, 0h00
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Georges Kern est un CEO atypique. Français, il parle parfaitement l’allemand. Mais s’il s’est magnifiquement intégré sur les bords du Rhin, à Schaffhouse, il garde tout son tempérament latin. Allié à la rigueur germanique, cela donne une belle alchimie qui profite à la marque IWC. Lorsqu’elle s’est retrouvée dans le giron du groupe Richemont, avec Jaeger-LeCoultre et Lange & Söhne, IWC n’était connue que des spécialistes et du public germanique. Très technique, machiste à l’extrême, la maison s...
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