07 octobre 2005, 0h00
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Fort d’un trésor de guerre de 3 milliards d’euros, le géant de l’acier Arcelor est à l’affût d’aquisitions, notamment en Ukraine où il convoite la première aciérie du pays, en Turquie, malgré son échec sur la privatisation d’un sidérurgiste, et vise aussi des participations en Chine.
Arcelor va déposer formellement une offre commune avec le groupe ukrainien Union industrielle du Donbass pour racheter la première aciérie ukrainienne Krivorijstal, en cours de privatisation, a annoncé jeudi à l’AF...
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