10 avril 2001, 0h00
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Un peu plus d’un an après la fusion qui lui a donné le jour, l’allemand E.ON s’apprête à devenir le numéro deux mondial de l’énergie, derrière le français EDF, en reprenant le britannique Powergen avec lequel il compte se développer aussi aux Etats-Unis.
Né de l’union de Viag et de Veba, E.ON a lancé hier une offre amicale sur Powergen, numéro deux britannique du secteur, à 765 pences (12,19 euros) par titre, valorisant la société à 15,3 milliards d’euros. Le prix, qui représente une prime de 8,...
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