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Avec les difficultés de Sabena et de Cockerill, l’économie belge continue de passer sous pavillon étranger

Le pays s’est perméabilisé vis-à-vis de l’extérieur depuis la libéralisation européenne des mouvements de capitaux des années 1990.

22 février 2001, 0h00
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Les difficultés de la compagnie aérienne Sabena avec son actionnaire suisse SAirGroup et la perte d’influence du groupe sidérurgique Cockerill dans le futur leader mondial de l’acier NewCo témoignent du passage de l’économie belge sous pavillon étranger. Cette économie est l’une des plus ouvertes du monde: malgré sa petite taille et ses 10 millions d’habitants, la Belgique est une des premières destinations mondiales pour les investissements étrangers. Leur volume y a été multiplié par 40 depuis...
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