Guy Mettan
Chroniqueur, journaliste indépendant
30 décembre 2003, 0h00
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L’année 2003 ne restera pas comme un grand cru dans nos mémoires. A tous points de vue, les douze mois écoulés ne laisseront guère de regrets. Mais au moins ont-ils eu le mérite de nous dessiller les yeux, de ranger au vestiaire chimères et rêves, de nous remettre les pieds sur terre en nous imposant le réalisme le plus cru. Ce désenchantement du futur sera peut-être, en fin de compte, l’aiguillon qui nous manquait pour repartir sur des bases plus solides et plus saines.
Prenons le cas de l’int...
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