18 mars 2010, 0h00
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L’exercice 2009 marque assurément un tournant dans l’histoire du marché de l’art. N’en déplaise aux angéliques, la correction a été brutale. L’assainissement s’est tout de même fait sans passé par le krach très redouté. La purge la plus visible se mesure dans l’art contemporain, dont l’écrasement du chiffre d’affaires n’a pas été compensé par le transfert sur les valeurs sûres, art ancien ou moderne. Thierry Ehrmann, fondateur et président exécutif d’Artprice, insiste sur un signal fort : l’art ...
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