08 juin 2009, 0h00
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Lukas Braunschweiler, patron de Ruag, ne voit aucune raison de privatiser pour l’instant le groupe d’armement et d’aéronautique en mains de la Confédération. Cette opération n’est pas impérativement nécessaire, dit-il dans la SonntagsZeitung. Dans le contexte actuel de crise économique, la Confédération est un actionnaire qui pense à long terme et qui laisse suffisamment de liberté d’entreprise. Une privatisation ne serait sensée que si elle correspondait à l’évolution de Ruag, par exemple, en c...
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