25 juin 2008, 0h00
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Un voile de brume se lève sur les performances d’un acteur économique presque inconnu, le Comité international olympique (CIO). Considérée sous l’angle de son modèle d’affaires, la famille olympique ressemblerait presque à une simple PME de 350 employés. Pour la première fois, une étude mesure l’impact économique réel du CIO – et de la galaxie des fédérations et associations sportives – sur la région Lausanne et l’arc lémanique. La prudence est la première vertu de cette étude
«L’impact total...
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