13 avril 2004, 0h00
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Après tout juste trois ans, la participation de l’ECAL (Ecole cantonale d’art de Lausanne) au Salon international du meuble de Milan n’est pas seulement devenue une success story mais une véritable tradition. En attendant l’addiction. Parce que l’ECAL sait créer aussi bien la surprise que le ravissement.
En 2001, les tables antisismiques de Martino D’Esposito décrochaient le prix de la meilleure présentation d’école au Salone Satellite. L’année suivante, la série de quarante botte-cul au Centre...
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