26 septembre 2003, 0h00
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Les Egyptiens crient «Vive la Chine» qui inonde les marchés de produits à prix cassés, alors qu’ils jonglent entre petits boulots et chaînes de solidarité sociale pour tenter de joindre les deux bouts. «Cette année, la rentrée scolaire a viré au cauchemar en raison de la hausse des prix et de la stagnation des revenus», explique Mona, 41 ans, mère de trois enfants âgés de cinq à douze ans.
Femme au foyer, elle traduit désormais des textes à domicile à raison de 0,10 livre égyptienne (moins de 0...
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