11 novembre 2005, 0h00
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Une visite à Moscou, à l’occasion de la mission économique de Joseph Deiss fin octobre, suivie d’un voyage à Pékin puis aux confins occidentaux et méridionaux de la Chine avec un retour à Moscou sur le chemin du retour, a été l’occasion de capter le mouvement de fond qui saisit le cœur de l’Asie continentale depuis quelques années. J’en ai tiré quelques constats et hypothèses plutôt décoiffants, que je vous livre en vrac avant de les examiner plus attentivement.
Premier constat: l’arbre chinois...
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