24 mars 2004, 0h00
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Pour l’heure, «on peut dormir tranquillement», a rassuré hier Samuel Schmid, ministre de la Défense, à l’issue de la première réunion, depuis les attentats de Madrid, de la délégation du Conseil fédéral pour la sécurité. Mais l’analyse et l’échange d’informations – tâches permanentes – peuvent être renforcés.
L’analyse montre que les attentats de Madrid ne sont pas le fait de l’ETA basque, mais d’extrémistes islamistes. S’il s’agit d’un groupe autonome local, un attentat du même type en Suiss...
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