29 juillet 2003, 0h00
Partager
Il s’agit aussi de réduire la place de l’Etat dans le secteur bancaire.
Le gouvernement grec, qui s’est fixé comme objectif de lever quelque 3 milliards d’euros en 2003 grâce aux privatisations pour faire baisser sa dette, l’une des plus fortes de l’UE, poursuit tous azimuts la vente de ses participations et laisse même entendre qu’il est prêt à des opérations encore plus ambitieuses. Le ministère grec de l’Economie et des Finances a ainsi annoncé lundi que la vente à la Bourse d’Athènes de 25,...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT