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Association gagnante pour Balmain Swiss Watches

Pas facile de sauter de la haute couture à l’industrie horlogère. Si certains s’y sont cassé les dents en obtenant des résultats mitigés, à Saint-Imier, Balmain affiche un large sourire.

30 novembre 2001, 0h00
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Bien sûr ce n’est pas Pierre Balmain en personne qui sourit en parlant des montres qui portent son nom. Non, c’est Jerry Simonis, président de la marque, qui affiche une franche bonne humeur, comme quelqu’un qui a réussi une bonne farce. Et il a de quoi être satisfait puisque, en 2001, Balmain est en progression et finira l’année avec des chiffres supérieurs à ceux de 2000, pourtant considérée comme l’année de tous les records. Bien sûr, Jerry Simonis pondère son enthousiasme en évoquant la fin ...
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