01 juin 2007, 0h00
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Jusqu’en 1918, les politologues admettaient que les relations internationales s’inscrivent dans ce que Thomas Hobbes avait appelé «un état de guerre de tous contre tous». Tenter d’y faire régner la justice ne venait à l’esprit de personne, parce que c’est impossible là où seule la force règne. Certes, on concluait des traités, comme celui qui passionnait et passionne encore Henry Kissinger, celui de Vienne, qui a permis au Vieux-Continent de vivre dans une paix relative jusqu’à la Première Guerr...
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