11 février 2004, 0h00
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Non, je ne joue pas les cassandres, encore moins les soi-disant gourous qui minent notre profession déjà (et à raison) fort décriée. Il y a simplement des instants clés où chacun est légitimé à parler de ses convictions, surtout quand un faisceau d’indices semblent les étayer, sans émotion ni intérêt personnel. Après tout, les critiques étaient similaires en mars dernier quand le pronostic d’une hausse prochaine de 50% sur les actions avait été avancé, il s’agissait d’un moment aussi important q...
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