14 avril 2004, 0h00
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Le jeune capitaine ne cache pas sa colère. «Sur le papier, je devais disposer d’une compagnie de 200 hommes; je constate aujourd’hui que je suis loin du compte», lance-t-il. Alors que son cours de répétition s’approche, il reçoit les notifications de dispenses à la douzaine. Cela serait encore acceptable, si ses supérieurs ne lui réclamaient pas des dizaines d’hommes pour des services subsidaires aux quatre coins du pays. «Cela ne vaut même pas la peine de préparer un cours de répétition», râle ...
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