01 février 2005, 0h00
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Sa rogne, Jacques* ne la cache pas. «Je ne comprends pas: les dépôts de munitions extérieurs dont je m’occupe vont continuer à exister même si l’arsenal de Bulle disparaît. Alors pourquoi me licencie-t-on?» Perdre son job à 56 ans, cela fait mal. Surtout si, comme lui, on a acheté des parts de deuxième pilier pour pouvoir prendre une retraite anticipée à 60 ans. Et encore plus lorsque l’employeur est la Confédération qui garantissait naguère la sécurité de l’emploi. Mais cette époque est révolue...
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