30 avril 2004, 0h00
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Un désaveu dimanche de son parti, le Likoud (droite), à son «plan de séparation» d’avec les Palestiniens laisserait au Premier ministre Ariel Sharon des alternatives aussi peu enviables l’une que l’autre.
Voici les différentes hypothèses: S’il enterre son plan: outre l’affront personnel, il se retrouvera dans une situation fort embarrassante vis-à-vis de l’allié américain qui ne lui a pas ménagé son soutien.
S’il passe outre l’avis des quelque 200.000 membres du Likoud, il risque d’être mis en...
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