27 avril 2004, 0h00
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Les jeux ne sont toujours pas faits pour Ariel Sharon: à moins d’une semaine du référendum du 2 mai au sein de son parti, le Likoud, le Premier ministre israélien peine à obtenir un soutien franc de la direction à son «plan de séparation» d’avec les Palestiniens.
Les ténors du parti l’appuient mais du bout des lèvres. En règle générale, ils refusent de défendre un plan qui heurte les dogmes du principal parti de la droite nationaliste, en prévoyant le retrait d’ici à 2005 de la bande de Gaza, d...
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