15 janvier 2002, 0h00
Partager
Etranglés par la crise, les Argentins tentent de survivre, y compris par des moyens archaïques comme le troc, devenu un système d’économie parallèle, organisé et qui ne cesse de s’étendre. «Deux millions d’Argentins sont impliqués dans le système de troc. C’est un moyen de sortir de l’exclusion», a expliqué à l’AFP Graciela Draguicevich, coordinatrice du plus important marché au troc de Buenos Aires, installé dans le quartier populaire de Chacarita.
Inspiré des systèmes d’échange local (SEL) fra...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT