30 septembre 2009, 0h00
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Il aura fallu cinq jours pour que Philip Morris International (PMI) reconnaisse publiquement les dégâts. «PMI avait des archives stockées dans le dépôt qui a pris feu à Lausanne le week end dernier», a brièvement expliqué hier à L’Agefi un porte parole du groupe, après une valse-hésitation et un chassé croisé dans la communication. Cette petite phrase factuelle sans commentaire, une centaine d’entreprises de la région pourraient la répéter très simplement. Depuis jeudi dernier, en effet, le dépô...
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