15 février 2005, 0h00
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Au lendemain du divorce à l’amiable d’avec General Motors, Fiat se retrouve aux prises avec ses vieux démons: parts de marché à défendre, alliances industrielles à conclure, équilibre financier à restaurer.
Son président, Luca Cordero di Montezemolo, aime à rappeler qu’à l’arrivée de Sergio Marchionne (nommé à la tête de la branche auto en mai), le constructeur s’était fixé trois objectifs: résoudre le contentieux avec son partenaire américain, parvenir dans l’année à l’équilibre d’exploitation...
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