Après l’Irak, le regard de Davos se pose sur les déficits américains

À DAVOS Quoi de plus stimulant que débuter une réunion annuelle du World Economic Forum avec un survol de l’économie mondiale? Et qui de plus approprié que Stephen Roach, le chef économiste franc-parleur de Morgan Stanley, pour s’y adonner? Le pessimiste de service, après avoir correctement vu venir la chute du dollar, met en garde aujourd’hui contre l’endettement excessif et le déficit de la balance commerciale des Etats-Unis: «Les Américains confondent leurs maisons avec des distributeurs de ...