02 août 2007, 0h00
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Le 1er août aura probablement permis aux investisseurs suisses d’éviter l’effondrement sur les marchés européens. Ou tout au moins de le retarder. Le Vieux Continent a démontré hier que la nervosité de ces derniers jours pouvait provoquer tant l’euphorie – comme c’était le cas mardi – que la déprime par crainte de contagion de la crise des crédits aux Etats-Unis (lire en pages 14,15 et 17). Le record historique en cours de journée et la volatilité du cours du baril de pétrole n’ayant pas partici...
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