05 juillet 2004, 0h00
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Ainsi se termine un trimestre où l’amorce des perspectives de hausse sur les taux d’intérêt est passée d’«improbables» à «réelles» aux Etats-Unis. Les portefeuilles d’obligations en ont inéluctablement subi le contrecoup, mais le maintien d’échéances défensives a dans l’ensemble amorti l’impact. Cette première étape franchie, deux questions se posent aujourd’hui: à savoir quel sera le rythme des futures hausses américaines et à partir de quand l’Europe emboîtera-t-elle le pas?
La réponse à la p...
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