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Après la maternité, la boulimie «sociale» ne connaît plus de finLa radicalisation des syndicats, dont la clientèle vieillit et se raréfie, mène à une surenchère d’initiatives coûteuses.

16 septembre 2004, 0h00
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Vivre aux dépens d’autrui n’a jamais été aussi populaire en Suisse. Non moins de 28,8% de la production annuelle de richesses servent aujourd’hui à assouvir les besoins financiers liés à cet artifice. Avec un effet palpable sur le pouvoir d’achat des citoyens productifs. La surenchère d’initiatives dites sociales émerge non seulement du Parlement, mais de plus en plus souvent des syndicats: après la treizième rente AVS – équivalent oisif du treizième salaire – l’Union syndicale suisse (USS) e...
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