19 juillet 2006, 0h00
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«Un drame économique.» Au-delà des victimes – chiffrées à plus de 245 à l’heure où nous écrivons – et les conséquences géopolitiques pour toute la région du Golfe, Georges Goshn, ancien patron de La Tribune et conseiller sur le Liban, estime que le pays pourrait mettre deux à trois ans pour effacer cette semaine de combats. Pour mémoire, en février 2005, la Bourse de Beyrouth avait chuté en deux séances de 17,4% après l’assassinat de l’ancien premier ministre Rafiq Hariri. Les marchés financiers...
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