06 février 2009, 0h00
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L’âge de l’endettement est révolu et personne n’a encore remplacé le consommateur américain en tant que moteur de la croissance mondiale. «Le rationnement actuel du crédit limite considérablement la croissance», explique Roger Keller, de la banque privée BNP Paribas, qui présentait hier ses thèmes d’investissements pour 2009. «Depuis l’an 2000, la croissance américaine n’aurait atteint que 1% par an si les propriétaires immobiliers n’avaient pas pu extraire du cash en refinançant leurs hypothè...
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