06 septembre 2000, 0h00
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C’était dans les années soixante. A Détroit, Harley Earl dessinait des voitures depuis passées dans la légende. Buick 51 Le Sabre coupé, Corvette 53 et tous ses immenses vaisseaux chromés, qui font aujourd’hui la joie des collectionneurs, sont nés sous son crayon. Et puis plus rien. Pendant des années, General Motors a produit des voitures toujours plus banales, toujours plus interchangeables jusqu’à ce que la firme voie son chiffre d’affaires s’éroder sous la double pression des Japonais puis d...
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