27 juillet 2005, 0h00
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Se débarrasser de l’euro? Ridicule! A l’instar de plusieurs chefs d’entreprise européens, Andrea Tomat se refuse à une telle extrémité. Il l’a dit et redit à «Bloomberg», comme l’ont fait des représentants de Siemens ou encore du Club Med. Sa particularité? Il représente une région marquée par l’anti-européenne Ligue du Nord – la Vénétie des environs de Trévise – et œuvre dans un secteur d’exportation soumis à rude concurrence – la chaussure et le textile.
Armé d’un discours qui ne fait donc ...
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