11 décembre 2007, 0h00
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L’espresso, c’est un miracle de la chimie dans une tasse, confie souvent Andrea Illy. A Trieste, le café ne se résume pas à un petit noir avalé au coin d’un bar. C’est une culture. Qui se déguste dans les locaux historiques de la ville, témoins du pan «mitteleuropa» de ce qui fut, jusqu’à la première guerre mondiale, LE port adriatique de l’Empire austro-hongrois. Qui se déguste dans le vocabulaire local, témoin d’un attachement qui pourrait confiner à celui des Inuits pour la neige. A chaque v...
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