03 juillet 2008, 0h00
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Un inconnu a utilisé un spray pour maculer la tombe du poète national danois Hans Christian Andersen. Encore étonnant que personne ne se soit levé pour clamer qu’il avait le droit de le faire au nom de la liberté d’expression. Il y a encore quelques années, toute remarque critique sur d’affreux graffitis vous faisait passer pour un vieux ringard réactionnaire. Aujourd’hui, les choses changent, heureusement. Reste le vandalisme. Dans les cimetières et hier contre l’auteur des plus belles histoire...
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