03 mars 2006, 0h00
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Les délégués du Parti socialiste suisse, réunis en assemblée ce week-end, se préparent à plaider – une fois de plus – pour l’adhésion à l’Union européenne. Les camarades ne s’y trompent pas: si l’UE a en partie décrispé les pays européens les plus fermés, elle est devenue, à l’image de toute institution centralisant le pouvoir politique, un éden d’étatisme et de sophismes économiques. Comme la Confédération, censée libéraliser la Suisse en 1848 mais où Simonetta Sommaruga réglemente aujourd’hui ...
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