01 septembre 2013, 21h00
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Ce n’est pas la première fois que ça se produit, ni que le secteur banque et finance en Suisse finit par redevenir attractif et reprendre confiance. Mais la baisse de moral parmi les ressources humaines (200.000 personnes environ), perceptible depuis la dépression de 2008 (et accessoirement la crise du secret bancaire suisse), met du temps à se dissiper. C’est ce qui ressort du deuxième sondage annuel réalisé sur l’ensemble du pays et sur le web, auprès d’un échantillon de 500 personnes, par le ...
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