14 octobre 2012, 19h45
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Après des années de controverses et de surexposition, le nom de Viktor Vekselberg a disparu du paysage éco-médiatique suisse. Une sorte de rédemption pour une personnalité si étroitement associée aux calvaires de Sulzer et OC Oerlikon, ses participations les plus emblématiques. C’est un bon signe. Avec un peu de recul, Vekselberg s’avère plus orienté long terme qu’activiste et ses entreprises présentent un comportement plutôt convaincant: Sulzer a retrouvé sa stabilité, les commandes sur neuf mo...
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