24 septembre 2003, 0h00
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Peu importe l’insistance de la France pour affirmer que son opération de secours de 3,2 milliards de dollars était un «compromis», le commissaire à la Concurrence européenne Mario Monti a gagné. Non pas que le renflouement du groupe d’ingénierie français soit clair. Il peut éviter la faillite immédiate, mais ne résout, toutefois, pas les malheurs financiers à long terme du groupe. La victoire de Mario Monti n’est cependant pas totale. Certes, la France ne devient pas le plus important actionnai...
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