07 février 2000, 0h00
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Le Japon est célèbre pour l’aspect inextricable des participations croisées qui lient ses entreprises. Un réseau serré qui a longtemps été considéré comme un avantage majeur, mais qui au fil des décennies a mené à une érosion de l’efficience dans l’utilisation du capital et de la valeur actionnariale.
L’Allemagne est une autre de ces citadelles imprenables, même si l’absorption de Mannesman par Vodafone vient de donner plus qu’un coup de canif à ce dogme. Selon Merrill Lynch, les participations ...
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