12 novembre 2003, 0h00
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C’est incroyable, l’attrait que Genève exerce ces temps-ci sur les banquiers privés zurichois. Largement inconnus hors du grand Zurich il y a quelques années encore, ils défilent désormais en ordre continu dans les salons de la cité de Calvin: Sarasin a ouvert les feux il y a deux ans, suivi de Vontobel, de Julius Baer et, dernièrement, du Credit Suisse Private banking. Quelle peut être la raison d’un si puissant attrait? La clientèle est de retour. Les flux nets repartent à la hausse. Mais surt...
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