31 octobre 2003, 0h00
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Un mythe s’effondre. Loin d’être «biggest», «greatest» et «most beautiful», les Américains, ces parangons de l’idéal humain, ces icônes de la race parfaite, ces demi-dieux blonds au volant de leur Chevrolet «Corvette», ces «easy riders» défiant le bitume de l’Arizona au guidon de leur Harley… ces gens, quoi, sont de moins en moins grands. Et de plus en plus grassouillets, pour ne pas dire obèses.
C’est une étude de deux chercheurs de l’Université de Munich qui le montre sous le titre «La dest...
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