20 février 2001, 0h00
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Alan Greenspan n’avait pas la tâche facile face au Comité bancaire du Sénat: il devait en effet justifier l’agressivité des baisses de taux d’intérêt opérées en janvier tout en évitant de peindre un tableau trop sombre des perspectives de croissance. Pas question d’insister sur les risques de récession alors que la confiance des ménages et des investisseurs est déjà sérieusement ébranlée! Le président de la Fed a donc tenu un discours globalement optimiste, truffé de références aux mérites de la...
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