19 juillet 2005, 0h00
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Il y a les messages écrits en lettres de sang, ponctués de déflagrations meurtrières et d’égorgements. Et ceux déposés sur un écran, après un voyage parfois sinueux dans les méandres d’Internet. Ces derniers précèdent les premiers ou s’inscrivent dans leur sillage, selon le calendrier que se sont fixé les chefs djihadistes qui maîtrisent parfaitement leur communication. Le dernier message reçu de la mouvance islamiste radicale relève, lui, de l’avertissement. Signé des Brigades Abou Hafs al-Masr...
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